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À Propos

Casa Poerava, c'est une histoire de famille, une histoire de cœur. En voici l'essence même...

Image de Jeff Siepman

Tout commence par une histoire belge

 

Ma marraine, c'était un sacré personnage ! 

Bien que Belge, elle vivait la moitié de chaque année en Corse, tombée amoureuse de l'île dès son plus jeune âge. Elle a fait construire la maison en 1968 mais y avait aussi planté des vignes, pour faire son propre vin... selon elle, l'eau ne devait servir qu'à prendre ses médicaments !

Indépendante, forte et un peu loufoque sur les bords, Denyse avait fasciné ma mère, Nouchka, au point de lui demander d'être ma marraine, un peu à la manière de celle de Cendrillon sans l'avouer vraiment. Elles s'étaient rencontrées lors d'une exposition à Ajaccio, ma mère étant artiste peintre.

Nos relations n'ont réellement commencé qu'après mes 13 ans, ma marraine n'était pas "fan" des enfants. De ce jour, elle eut un impact important sur ma vie, très présente. En plus des virées que nous faisions souvent en France ou en Italie, j'ai passé presque toutes mes vacances avec elle. Sa maison est devenu mon refuge.

Quelques temps avant de fermer les yeux définitivement, elle me demandait quoi faire de cette propriété, n'ayant plus de famille depuis bien longtemps. Nous plaisantions en l'imaginant en refuge pour chats, "ses compagnons de fortune", comme elle disait.

Mais elle en avait décidé autrement.

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Une histoire de perle

 

Vous vous demandez certainement : pourquoi "Casa Poerava" ? C'est là qu'interviennent mes parents, Gilles et Tania.

Tous les deux ont parcouru le monde, par plaisir ou devoir. Rencontrés à Bastia quand j'étais petite, c'est à Tahiti qu'ils sont tout d'abord partis et se sont mariés. Mon père était à l'époque professeur, et Tania a, entre autre, dirigé une ferme perlière. Eh oui, des perles noires. 

Après de nombreux autres périples, et suite au décès de ma marraine, ils se sont installés dans la maison et y ont fait de nombreux travaux afin de lui donner un nouveau cachet. Tania a fait "couper la montagne" comme nous nous amusons à dire, mon père a implanté la piscine et ils ont transformé la maison pour qu'elle prenne un sacré coup de jeune avant de la nommer "Casa Poerava" : la maison de la perle noire !

En Chine, la perle noire naturelle était considérée comme un véritable symbole de sagesse. Une version plus colorée raconte que les Perles sont la rencontre exclusive d’un arc-en-ciel avec la terre. Quoi de plus beau qu'un symbole d'amour et de sagesse pour baptiser une maison ? Son identité était choisie.

mains tenant

Une histoire à deux

 

Cette maison, aujourd'hui, c'est la nôtre. Le cocon douillet où nous construisons notre vie, nos souvenirs.

"Nous", c'est mon compagnon, Régis, et moi, Sophie-Fleur. J'ai hérité de cette propriété. Il l'a adoptée.

Nous espérons arriver à vous transmettre, au travers des quelques jours que vous pourriez passer chez nous, tout le bien-être que cette maison nous inspire. En tout cas nous y travaillons et y mettons tout notre cœur !

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